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Pensée ! Clap ! Action !

A quel moment passer à l’action ? La petite expérience qui m’a aidée…

A quel moment passer à l’action ? La petite expérience qui m’a aidée… Quand Mathieu, l’auteur du blog Penser et Agir m’a envoyé le thème de la croisée des blogs « Penser et Agir, à quel moment devez-vous passer à l’action ?« en me proposant d’y participer, j’ai cru que l’Univers me faisait une blague.


Parce que c’est un thème sur lequel j’aurais justement tendance à bloquer… J’ai laissé passé plusieurs jours (au lieu de m’y mettre derechef) et puis est survenu un évènement que j’ai commencé à considérer comme une bonne excuse pour ne pas le faire (Wayne Dyer a écrit un bouquin entier sur le sujet : Arrêtez de vous trouver des excuses ! Comment changer ses mauvaises habitudes de Wayne Dyer.

J’ouvre une parenthèse mais si elle peut vous éviter de faire la même erreur, si vous n’avez pas encore de site internet ou blog, je vais vous l’indiquer.

Quand vous faites la recherche de nom de site ou blog, commencez à vérifier que vos bonnes idées ne sont pas déjà prises, en passant par Google cela va de soit (même si vous avez vérifié une par une les 25 premières pages), des outils de recherche de mots-clés éventuellement, mais ce n’est pas suffisant, il faut également vérifier à l’INPI si le nom n’est pas enregistré comme marque auquel cas, il vous faudra en trouver un autre… D’ailleurs, cet article va devoir migrer lui aussi ( avec mon site) !

J’ai donc commencé à écrire un mail à Mathieu pour m’excuser de ne pas participer. Puis en lisant ce que je lui avais écrit, il m’est apparu évident que j’étais en train de toucher à une résistance de ma part.


Clap de cinéma pour signifier l'action de filmer
Photo de Martin Lopez pour Pexels

Étant facilitateur (j’aime mieux ce terme que praticien ou coach finalement) en techniques et thérapies énergétiques, j’ai pris l’habitude de voir quand un de mes clients (ou moi-même) se heurte à une résistance. En y réfléchissant, je me de suis dit que si je n’affrontais pas le problème, il risquerait de se reproduire et peut-être même d’une façon plus percutante ou plus ennuyeuse pour moi.

Vous avez peut-être remarqué de votre côté que les opportunités de leçons, quand vous ne les saisissez pas, ne manquent pas de se reproduire à chaque fois de façon plus intense, jusqu’à ce que vous vous décidiez à travailler dessus C’est comme ça que je me suis mis au clavier…

Au départ, je m’étais dit que j’allais lire une palanquée d’articles sur le sujet et notamment ceux de Steve Pavlina, auteur connu des blogueurs/lecteurs du site A la Croisée des Blogs, puis je suis tombé sur un article en particulier qui s’intitule « Are you playing the waiting game? » (Jouez-vous au jeu de l’attente) et j’ai trouvé là l’angle qui m’intéressait pour cet article.

L’intérêt de ce thème, c’est qu’il n’y a, à mon avis, pas une seule et unique façon d’envisager la solution à cette question qui est de savoir quand passer de la réflexion à l’action. En essayant de voir comment ça pourrait vous parler à vous, lecteur, il m’est venu à l’esprit qu’une des possibilités de passer à l’action sans trop tergiverser, c’est peut-être de guetter le déclic, l’impulsion, ou plus exactement ce qui peut constituer un déclic pour vous. Je ne suis pas un fervent partisan de se jeter dans l’action sans réfléchir un minimum; je crois qu’une action qui vient quand la pensé a mûri le sujet, ça aide grandement mais je reconnais bien volontiers que ce raisonnement ne sera pas forcément celui de tout le monde.

Là encore, je crois qu’il est difficile de trouver une taille (un modèle) unique qui convienne à tout le monde, « one size fits all » comme disent les américains; le caractère et la personnalité de chacun intervient largement dans le processus.


Il y a des gens qui ont besoin de se jeter rapidement dans l’action puis ensuite vont corriger la trajectoire au fur et à mesure si nécessaire, d’autres ont besoin de comprendre et envisager tous les « why’s » (pourquoi) et « but’s » (mais) avant de s’y mettre, d’autres encore ne passeront facilement à l’action que s’ils ressentent qu’il y a une sorte de projet commun qui profite au groupe.

Il s’agit peut-être bien de trouver ce qui pour chacun d’entre nous constitue un juste équilibre, et de surcroît, un équilibre qui nous corresponde.

Personnellement, si quelqu’un me dit « c’est comme cela que tu dois faire », en sous-entendant qu’il n’y a que cette façon de faire qui fonctionne, ça risque de me hérisser le poil (et me faire partir dans la direction opposée, éventuellement). Pas vous ? …

Quand je parle de guetter le déclic, je ne conseille pas de procrastiner, ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Quand survient le déclic, là, vous bénéficiez d’une énergie, d’un enthousiasme et d’une motivation qui font que vous n’avez pas l’impression d’un effort particulier pour vous y mettre, cela vient « quasi » tout seul.

Posez-vous les questions suivantes :

  • Qu’est-ce qui me convient le mieux pour passer à l’action ?

  • Avec quelle formule est-ce que cela me semble le plus facile, le plus naturel pour moi ? (Identifiez les fois où ce passage de la pensée à l’action vous a semblé fluide)

Je vous invite également à parcourir le blog de Mathieu car je ne doute pas que dans l’un ou plusieurs des articles que vous lirez, vous pourrez trouver ou bien la réponse, ou bien un élément de réponse qui vous corresponde.

PS : Félicitations à Mathieu du blog Penser et Agir pour cet évènement qui a réuni pas moins de 70 blogueurs, comme quoi, c’est en équipe qu’on réussit le mieux !




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