top of page

Quand l’autre est mon miroir…

Vous est-il déjà arrivé de remarquer quelque chose qui vous agace chez l’autre pour vous apercevoir, après réflexion, que l’autre jouait le rôle de miroir et vous révélait quelque chose qui était aussi présent chez vous ?


Avez-vous déjà porté un jugement, une critique, qu’on vous a aussitôt retourné en vous faisant – plus ou moins – gentiment remarquer, que « mon vieux (ma vieille), tu ne t’es pas regardé » ? J’imagine que oui…


Avez-vous déjà porté un jugement, une critique, qu'on vous a aussitôt retourné ?

Bien sûr, vous me direz, ce n’est pas le scoop du jour, puisqu’on en trouve déjà des traces dans la bible avec le fameux « Ne regarde pas la paille dans l’œil du voisin mais la poutre dans le tien » – je paraphrase l’évangile de Luc, 6-41. Mais on oublie trop souvent cette partie : « ôte premièrement la poutre de ton œil, et alors tu verras comment ôter la paille qui est dans l’œil de ton frère. » Et c’est bien de celle-là que je vais vous entretenir.


Avez-vous déjà envisagé que ce simple miroir puisse être un fabuleux outil de développement personnel ?


Je sais, dans le nom, rien de « fancy », rien de très original, ça ne s’appelle pas super quantique psycho méta énergétique transformation, et en apparence cela semble un peu anodin, mais je vous invite à y jeter un coup d’œil de plus près, parce que derrière cette apparence d’évidence et de simplicité se cache un outil très puissant.


Ah, bon, je ne vois pas en quoi ça peut me servir…

Il est certain que si l’on ne prend que quelques secondes à se contenter de remarquer que tel travers, telle habitude ou façon de pensée que l’on constate chez l’autre nous appartient aussi, sans y donner de suite, cela s’avérera assez peu utile et efficace.

Non, pour cela, il faut aller évidemment un peu plus loin…





Au contraire de la bible, je vais vous encourager à voir ce qui en apparence ne vas pas chez le voisin, le parent, l’enfant mais pour vous en servir de manière constructive, sans espérer changer l’autre, ce qui marche assez peu en général, vous en conviendrez, mais pour mieux vous connaître, décoder vos schémas et les transformer pour ne plus avoir le sentiment de fonctionner en pilote automatique qui ne comprend pas pourquoi les autres réagissent comme ça et risquer de vivre éternellement en victime.


Pour cela, vous allez vous retourner le propos - si je puis dire - en vous demandant si c’est présent chez vous, d’une façon ou d’une autre.


Ce désordre chez l’autre dont le bureau est un capharnaüm ne serait-il pas le reflet de votre propre désordre (soit de la même façon soit d’une façon un petit peu différente) ? Alors, au lieu de vous énerver sur les travers de l’autre, je vais vous inviter à vous dire : Ah, tiens, c’est aussi présent chez moi (si c’est le cas)

Au passage, vous y gagnerez peut-être en patience, en compassion !


Je vous invite à vous inscrire à ma lettre d’information en bas de la page (si vous ne l’êtes pas déjà) pour être tenu au courant quand je vous présenterai un outil très intéressant pour aller beaucoup plus loin, et qui vous donnera des moyens de transformation de votre vie très puissants pour vous aider à aller dans la direction que vous souhaitez , mais je ne vous en dis pas plus pour l’instant…


En attendant, voudriez-vous partager ici un exemple personnel de quelque chose que vous avez constaté chez quelqu’un et qui était un parfait reflet d’un comportement, une habitude qui vous appartient également et qui a été l’occasion d’une prise de conscience car c’est bien de cela qu’il s’agit. (postez-le dans les commentaires ci-dessous, je les lis toujours)


PS : Je ne peux m’empêcher de penser à Nelson Mandela qui a puisé dans le poème Invictus (William Ernest Henley) la force de tenir jusqu’à sa libération :

Je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme - William Ernest Henley
bottom of page