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Le pardon avec Ho’oponopono

Dernière mise à jour : 21 nov. 2022

Cet article est une réponse à une discussion initiée sur Linkedin (dans le groupe bien-être ) sur le thème :


Quel est le sens du pardon dans votre philosophie de vie ? Comment le ressentez-vous ? Est-il nécessaire ?

… et qui faisait référence à un article intitulé « Savoir pardonner » sur le site auféminin.com

Je ne ressens pas le pardon comme un acte égoïste parce qu’il libère les deux protagonistes de la situation. 


Avec Ho’oponopono, qui signifie bien « rectifier, corriger une erreur » (selon la définition donnée par l’organisation fondée par Morrnah Nalamaku Simeona , on regarde cela comme un lien (le ressentiment, la rancune) que l’on souhaite défaire pour se libérer et libérer l’autre.

Morrnah recommandait de réciter une certaine forme de prière pour mentionner les émotions, l’évènement et la personne impliquée et cette prière est destinée au Divin ou à l’Univers si vous préférez, ce qui enlève un poids énorme à la personne qui souhaite exercer ce pardon puisque ce n’est pas à elle de le faire directement; d’ailleurs dans la plupart des cas, elle en serait bien incapable.

La voici (elle est publiée dans le nouveau livre de Joe Vitale – Zéro Limite – l’ultime secret – la quête des miracles par Ho’oponopono (la suite de Zéro Limite). Morrnah conseille de la répéter 4 fois sur le même sujet.





Je suis le Je

Je viens du vide vers la lumière,

Je suis le souffle qui nourrit la vie,

Je suis ce vide, ce néant au-delà de toute conscience,

Le Je , le Moi , le Tout.

Je tends mon arc en ciel au-dessus des eaux,

la continuité de l’esprit avec la matière.

Je suis le souffle qui entre et qui sort,

Le souffle invisible et intouchable,

l’atome indéfinissable de la création.

Je suis le Je

Esprit, Super-conscient, localise l’origine de mes émotions, pensées de XXX (lister la ou les émotions).

Prends toute et chaque couche, domaine, et aspect de mon être jusqu’à son origine, analyse-les et résous-les parfaitement avec la vérité de Dieu.

Passe en revue toutes les générations du temps et de l’éternité en guérissant tous les incidents et tout ce qui y est rattaché, basé sur l’origine.

Fais-le selon la volonté de Dieu jusqu’à ce que je sois au présent, rempli de lumière et vérité.

Que me soit accordée la paix et l’amour de Dieu, le pardon de moi-même pour mes perceptions incorrectes, le pardon de toutes personnes, lieux, circonstances, évènements qui ont contribué à ceci, ces pensées, émotions et croyances.

Que la paix soit avec vous

Toute ma paix

La paix qui est Je

La paix qui est Je suis

La paix pour toujours, maintenant, et pour toujours et plus encore

Ma paix, je vous la donne

Ma paix, je vous la laisse

pas la paix du monde,

mais seulement ma paix

La Paix du Je

J’apprécie tout particulièrement ce processus parce qu’il ne nécessite pas de protocole complexe, ni d’intellectualiser, ni même de faire un travail de détective pour aller dénicher la source (si jamais cela émerge, on peut toutefois le mentionner directement).

Avec cette magnifique méthode de sagesse Hawaïenne, on reconnaît que l’on vit avec des programmes, des mémoires qui bien souvent ne nous appartiennent pas et qui souvent sont inconscientes et l’on s’en remet à une autorité supérieure qui sait où ET comment intervenir pour opérer la guérison (je crois qu’on peut dire que se libérer de la rancune, du ressentiment est une forme de guérison).


Je trouve qu’il y a une certain légèreté dans le processus et j’avoue que ça me convient 😉


On vit avec des programmes, des mémoires qui bien souvent ne nous appartiennent pas.

Il me semble qu’il y a souvent une confusion dans l’esprit de certains quant au fait que pardonner ce serait excuser l’acte – on comprend pourquoi dans ce cas les personnes ne veulent pas pardonner, mais ce qui n’est pas du tout le cas. Le pardon ne vaut pas approbation à mon sens. On peut parfaitement pardonner la personne sans approuver l’acte.

Quant à l’entourage, Il arrive en effet que le pardon suscite l’incompréhension parce les personnes projettent leurs jugements et leurs croyances et n’acceptent pas que l’autre ait fait un choix différent – qui pour le coup chahute sévèrement leur système de croyances qu’elles n’ont aucune envie de remettre en question… mais c’est identique au cas de toute personne qui entreprend un travail sur elle-même vis à vis de son entourage. La question qui se pose, je crois, est : est-ce qu’on cherche à leur faire plaisir ou à vivre en accord et en paix avec soi-même ?


Et je ne sous-entends certainement pas que la décision sera indolore mais là encore, on peut le traiter avec Ho’oponopono… Louis Szabo

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